« Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés ?... »
Rutebeuf
- (XIIIe siècle)
À
la douce mémoire de...
Gérard
(«Gerry») Lavoie (2019)
À l'Hôpital de l'Enfant-Jésus, le 21 mars 2019, à l'âge de 73 ans et 8 mois, est décédé le confrère Gérard «Gerry» Lavoie, époux de dame Jocelyne Gagnon,
fils de feu madame Marie-Paule Deschesnes et de feu monsieur Adhémar Lavoie. Natif de Price, dans le Bas-Saint-Laurent, il demeuraît à Québec. Outre son épouse Jocelyne,
il laisse dans le deuil ses fils : Jean-Guillaume Lavoie (Julie Simard) et Alexis Lavoie (Ariane Alain); ses petits-fils Sam et Tom Lavoie; ses frères
et soeurs : Réal Lavoie (Régine Paradis), Paul lavoie (Monique Lévesque), Pierre Lavoie (Noëlle Lévesque) et louise Lavoie (Daniel Fournier); ses
beaux-frères et belles-soeurs de la famille Gagnon : Jacques (Cécile Bernatchez), Francine (Denis Tremblay), Huguette, Hélène (Marcel Landry), Michel
(Line Ross), Lise (Yves Nadeau), Monique (Claude Huot) et Chantal (Yvan Côté). Il laisse également dans le deuil de nombreux neveux, nièces, cousins, cousines et ami(e)s.
Claude-Bernard
Côté (2016)
À l'Hôpital de l'Enfant-Jésus, le 31 décembre, à l'âge de 70 ans, est décédé, entouré de l'amour des siens, le confrère Claude-Bernard Côté, fils de madame Anette Gagné et de feu monsieur Paul-Émile Côté. Il demeurait à Drummondville. Il laisse dans le deuil, sa mère Annette Gagné, sa fille Hélène Côté, ses frères Jacques Côté (Carole Boudreau), Michel Côté (Georgette Jean)
et Denis Côté (Françoise Dumont), sa belle-sœur Lise Fillion (Roch Lavoie), ses neveux et nièces, ses petits-neveux et ses petites-nièces ainsi que ses précieux amis et parents.
«
Pour ce qui est de Claude-Bernard, il ne me vient pas d'évènements spécifiques en mémoire. Par ailleurs l'impression qui se dessine dans
mes souvenirs est celle d'un être à l'allocution et aux éclats de rires sonores, tout en demeurant très sympathique, d'excellente compagnie et fort attachant. Peu
sportif, il était plutôt attiré par les grandes discussions de préférence à saveur politique, ne manquant jamais de bien faire sentir son opinion. Malgré
cela il demeurait parfaitement à l'écoute et toujours prêt à aider et soutenir ceux qui sollicitaient son concours, faisant de lui un
excellent compagnon et ami. Je pourrais résumer en disant simplement que
Claude-Bernard était un " personnage ". En raison de sa personnalité forte et attachante, la prochaine rencontre du 103e s'en trouvera fort grevée. » (Jean-Claude Bouchard)
«
Claude-Bernard incarnait la joie de vivre. Son rire était contagieux. Je conserve le souvenir d'un homme passionné, chaleureux et respectueux. Bon repos,
mon ami. » (Marc-André Dionne)
« Claude-Bernard était un externe, c'est à dire
qu'il ne mangeait pas et ne couchait pas au Séminaire. C'était quelqu'un d'agréable compagnie, un type jovial qui acceptait de se
faire taquiner et qui taquinait à son tour. Salutations Claude. » (Paul-André Charron)
«
Claude-Bernard, un gros bourré d'initiatives, disait de lui Marc-André Dionne. Ceci se passe au hockey. Claude-Bernard était assistant-coach
et pour s'assurer qu'il ne manquait pas de joueurs pour la partie, il invitait quelques joueurs supplémentaires. Cela réduisait le temps de
glace. » (Bernard Desrosiers)
Louis Amiot (2016)
C'est avec grande tristesse que nous vous avisons du décès du confrère Louis
Amiot, le 25 février 2016, à l'Institut universitaire de cardiologie et de pneumonie de Québec, à l'âge de 70 ans,
après une courte maladie.
Natif de Rimouski, fils aîné de feu Arthur Amiot et de feu Éléonore Lepage, Louis laisse dans le deuil son frère
Richard (Monique Bérubé) et ses sœurs Francine (Jocelyn Pagé), Suzanne et Brigitte (Laurent Lesage), de nombreux amis, neveux et nièces, petits-neveux et
petites-nièces.
Louis avait fait ses humanités au Petit Séminaire de Rimouski (103e cours) et au collège
Jean-de-Brébeuf de Montréal. Après une formation de comédien au Conservatoire d'art dramatique de Montréal, il fit carrière dans diverses troupes au Québec et en Ontario, dont Les
Pissenlits de Montréal et les Têtes heureuses de Saguenay. Il avait aussi fondé la troupe La Bamboche de Rimouski dans les
années 1990, ainsi que le Théâtre Tout-court, à Sainte-Luce-sur-Mer dans les années 1980.
Animateur de radio et chroniqueur culinaire sur les ondes des stations radios de Radio-Canada dans les
années 1990 et 2000, Louis fut une figure marquante de la région de Rimouski. Il y a partagé sa passion pour les arts de la table en
créant le restaurant et la pâtisserie La Vielle Demoiselle, sur la rue St-Paul. Sa demeure à Sainte-Luce-sur-Mer fut pour de
nombreux parents et amis un lieu de rencontres et de bonheurs partagés autour de sa table ou d'un feu de grève. Il résidait depuis quelques mois
à Chicoutimi.
« Je dois dire que le décès de Louis Amiot me touche beaucoup. Je l'ai connu de près,
puisqu'en classe nous occupions la même table à l'avant, près de la fenêtre. Je dois dire que c'était commode pour lui. Le lundi matin il entrait en classe quand tout le monde avait déjà pris place. En passant devant le professeur de français, il remettait ses deux pages de rédaction 8x14. Le point final était toujours situé dans le coin droit à la
fin de la deuxième page. Son texte, disait-il, était rédigé dans les 25 minutes avant son arrivée en classe. Comble de tout, il avait toujours la plus haute note. Parfois, son entrée en classe lui valait un
applaudissement. C'était tout de même difficile de lui reprocher un retard d'une minute..!
Cette personne apparemment effacée mais très cultivée
par ses lectures était capable de manier le plus subtil humour. Je me suis toujours demandé ce qu'il avait pu faire dans la vie. En apprenant qu'il a exercé la carrière théâtrale m'a
beaucoup réjouit. Les êtres silencieux finissent par monter sur les planches; et leur subtilité prend des airs théâtraux. Mes sincères condoléances
à sa famille, ses amis(es) et confrères. »
(Donat
Gagnon)
Jean-Yves Pelletier (2013)
Au
centre de santé et de services sociaux de la Matapédia, le 8 mars 2013, à l'âge de 68 ans et 8 mois est décédé le confrère Jean-Yves Pelletier. Il
était le conjoint de Louiselle Bouchard. Il demeurait à Sayabec. Il était le fils de feu Adrien Pelletier et de feu Laura Bélanger. Outre sa conjointe, Jean-Yves laisse
aussi dans le deuil, ses filles Sophie (Stan Biron), Isabelle (Serge Plourde), ses petites-filles Andréanne et Aurélie, son frère Jacques, ses soeurs Denise (Gaston), Claudette (Georges)
Nicole (Marc-André) et Chantal (Guy).
Natif de Val-Brillant, enseignant de profession, Jean-Yves laisse un impérissable
souvenir à de nombreux étudiants du territoire matapédien avec lesquels il a partagé ses connaissances. Très engagé dans son milieu tant au plan politique que social, il a investi de son temps pour l'avancement de
la municipalité de Sayabec ayant occupé les postes de maire (1992-2002) et de préfet du comté de la Matapédia pendant plusieurs années. Il a
également siégé à titre de commissaire à la Commission scolaire des Monts-et-Marées. Homme de conviction, il s'est aussi impliqué pour le développement
du Camp musical du Lac Matapédia et pour plusieurs autres organismes à but non lucratif de la Matapédia.
«
Si
mon souvenir est bon, Jean-Yves Pelletier, c'est celui que nous
surnommions " Capitaine ", n'est-ce pas? » (Jean-Maurice Pinel)
Gaétan
Dubé (2013)
À
son domicile, le 21 février 2013, à l'âge
de 68 ans et 7 mois, est décédé notre
confrère Gaétan Dubé. Il demeurait à
Rimouski. Il était le conjoint de Nicole
Lévesque et le fils de feu Irené Dubé
et de feu Catherine Charest. Il
avait subi récemment 6 pontages coronariens,
mais c'est finalement le cancer de la vessie
combiné à des métastases au poumon et
ailleurs qui l'ont emporté.
En
plus de sa conjointe, Gaétan laisse dans le deuil ses enfants
Pascale et Jean-François (Rachel), ses frères et ses soeurs Rachèle,
Raymonde (Raymond), Gabrielle, Monique, Danielle (Raymond), Réal
(Monique), Raymond (Nicole) et André (Ghislaine), ses
beaux-parents monsieur Hermel Lévesque et madame Ida Lavoie, ses
beaux-frères et ses belles-soeurs de la famille Lévesque Guy
(Yolande), Marie-Claude (Guy), Sylvain (Christine) et Nathalie (Sébastien),
de nombreux neveux, nièces, de nombreux autres parents et tous
ses amis(es). Il était également le frère de feu Arthur, feu
Georges-Henri, feu Denis (Marie) et le beau-frère de feu Réjean
Lévesque (Mona).
«
Si je ne
m'abuse, on l'appelait, circa 1960, l'Père. Je ne sais pas si ce
sobriquet l'a suivi tout au long de sa formation. J'ai l'image d'un
excellent sportif, prêt à aider les plus petits (ce que j'étais
à cette époque) et qui n'hésitait jamais à s'impliquer lorsqu'on
avait besoin de bras ou de têtes. Je
sais bien qu'à notre âge, on a plus à faire avec les funérailles
qu'avec des baptêmes, mais la mort d'un de la gang nous ramène
trop souvent à la précarité de notre statut à l'intérieur de
cette foutue galaxie. » (Jean-Maurice Pinel)
«
Son acharnement, combiné aux efforts d'un bon groupe
de bénvoles et de passionnés de ski de fond comme
lui, a fait en sorte que notre région est maintenant
dotée d'une infrastructure de qualité consacrée
essentiellement à la pratique de ce sport. » (Journal L'Avantage, 10 février 2004)
«
Le monde du sport régional est en deuil avec le décès de Gaétan
Dubé, un des principaux artisans de la fondation de la Coopérative de
ski de fond Mouski qui a procédé à l'achat du Club des raquetteurs de
Sainte-Blandine, en 2002. Le professeur d'éducation physique a reçu le
titre de la Personnalité bénévole sportive du Club Lion de Rimouski
en 2003.» (Le Rimouskois, 27 février 2013)
«
Gaétan était au centre (Corporation de ski de fond
Mouski) 40 heures par semaines et même davantage. Il
entretenait les pistes et voyait à différents
travaux. Il était ce qu'on pourrait appeler un
bénévole à temps plein.» (Sébastien
Bolduc, dans le Journal L'Avantage, 27 février 2013)
Jean-Vianney
Morin (2012)
À la maison
Desjardins des soins palliatifs du KRTB, le 9 septembre 2012, à
l’âge de 67 ans et 9 mois, est décédé notre confrère
Jean-Vianney Morin,
retraité de l'enseignement, conjoint de Diane Truchon. Il
demeurait au 171, rue Notre-Dame Est à Trois-Pistoles. Jean-Vianney
laisse dans le deuil, en plus de sa conjointe, ses
enfants, Renée-Caroline, Nive (Marie-Noël Laporte) et
Pierre-Alexandre (Catherine Bouchard), ses petits-enfants, Myria,
Darquise, Jeanne, Frédérique et Yohan, ainsi que sa mère, Bernadette
Tardif.
À
la fin de ses études, Jean-Vianney enseigna au secondaire à
Trois-Pistoles. Il devint ensuite conseiller pédagogique, d’abord à la
Commission scolaire des Basques, puis à la Commission scolaire du
Fleuve-et-des-Lacs, où il a terminé sa carrière de pédagogue.
«
Je
vous suis reconnaissant de m'avoir informé du décès
de Jean-Vianney, qui était mon voisin dans la grande
salle d'étude en Éléments latins. C'était pour moi
un garçon extrêmement gentil, toujours respectueux
et agréable dans la conversation.»
(Donat Gagnon)
«
Au cours de sa carrière, Jean-Vianney a
enseigné non seulement des matières académiques
à ses étudiants, mais aussi des valeurs morales
essentielles à tout être humain. Ce
que Jean-Vianney a transmis à ses étudiants est
durable et d'une valeur inestimable. C'est plus
précieux que l'argent, le statut social et la
notoriété. Avec les années, ses étudiants vont
continuer de découvrir la valeur et l'importance de
l'héritage qu'il leur a laissé simplement au fil
des jours par sa présence, par son exemple, par ses
questions et par son rire chaleureux. »
(Miville Couture)
«
Je connais
Jean-Vianney depuis 1958. Cette année-là, parmi les nombreux jeunes qui
entraient au Séminaire de Rimouski, l’un venait de Saint-Cyprien,
Jean-Vianney. Moi, je venais de Saint-Mathieu-de-Rioux. Nous avons fait
notre cours classique ensemble. Par la suite, nous nous sommes retrouvés comme enseignants au
secondaire à Trois-Pistoles. Ayant bifurqué vers l’administration
scolaire, nous nous sommes perdus de vue pendant un certain temps,
jusqu’au moment où Jean-Vianney devient conseiller pédagogique,
d’abord à la Commission scolaire des Basques, puis à la Commission
scolaire du Fleuve-et-des-Lacs, où il a terminé sa carrière de pédagogue.
Ayant côtoyé Jean-Vianney de près ou de loin entre les années
1958 et 2001, soit tout près de 43 ans, je peux vous le présenter comme
un homme studieux, perfectionniste, à la fois sérieux et un brin espiègle,
discret et parfois même un peu effacé. Saviez-vous qu’au Séminaire,
certains de ses amis l’appelaient gentiment "le poète"? Cet
homme érudit, politisé et à l’affût de toute l’actualité, tant
locale, régionale que nationale, il pouvait nous entretenir tant d’économie
et de finance, que de politique, de pédagogie, de santé, de philosophie
ou même de religion. Jean-Vianney fut un pédagogue reconnu dans son milieu, d’abord
auprès des adolescentes et adolescents qui lui ont été confiés au
secondaire et, ensuite, auprès des enseignantes et enseignants pour
l’implantation des programmes d’études et des méthodes
d’enseignement. Tous les intervenants seraient d’accord avec moi pour
reconnaître sa disponibilité, sa grande patience et ses conseils
opportuns. À travers cet accompagnement, il a toujours privilégié le
respect des personnes et l’amour des enfants, surtout des petits et de
ceux en difficultés d’adaptation ou d’apprentissage.
MaisJean-Vianney ne fut pas qu’un pédagogue ou un intellectuel. Il
s’est aussi impliqué de façon marquante au parc du
Mont-Saint-Mathieu. Il fut également un homme de party qui aimait le
plaisir. Tous les enseignants du temps se rappellent son capotage avec une
petite Renaud 5 après un party bien arrosé. Ou de l’expression
suivante lorsqu’il voulait se servir une 2e bière : «C’est
p’tit ça!». Sportif formé au Séminaire de Rimouski, il a pratiqué
beaucoup de sports : la natation, le badminton, le golf et surtout le
ski alpin, discipline dans laquelle il excellait particulièrement. Qui
n’a pas remarqué l’élégance de cet athlète, toujours bien mis et
fier de sa personne? Comme onle disait en latin « Mens sana in corpore sano »,
soit « un
esprit sain dans un corps sain. » (Raynald
Lagacé)
Raynond
Belisle (2010)
Le
28 novembre 2010, à l'âge de 65 ans, est décédé notre confrère
Raymond Bélisle, conjoint de Nicole Ouellette. Il était
originaire de Mont-Joli, dans le Bas-Saint-Laurent. Outre sa
conjointe, il laisse dans le deuil famille et amis. Il
a été emporté par une embolie pulmonaire. Il souffrait déjà d'un
cancer du poumon qui avait progressé dans l'année de façon quasi
fulgurante. Ses funérailles ont eu lieu à Montréal. Raymond s'était
joint à notre cohorte du 103e
cours pour nos deux dernières années du cours classique, soit en Philo
1 et Philo 2, de 1964 à 1966.
Après
ses études classiques, Raymond était devenu comédien. Il s'est fait
notamment remarquer dans le rôle de Clément Veilleux, un personnage clé
de la série Cormoran. Sa carrière a commencé vers la fin des années
60. Au cours des années 80, il a poursuivi sa carrière de comédien au Canada
anglais, pour revenir par la suite au Québec vers 1989, année où le
tournage de Cormoran a commencé.
Il
a joué quelques scènes dans la série Les filles de
Caleb. En 1999, dans la série Virginie, il a fait une
courte apparition, jouant le rôle d'un déplaisant vétérinaire.
Au cours de sa vie, Raymond Bélisle fut aussi le conjoint de Dyne
Mousseau, mère de l'actrice Katerine Mousseau ayant joué à ses côtés
dans la série Cormoran.
Claude
Ross (2010)
À
la Maison Michel Sarrazin de Québec, le 7
janvier 2010, à l'âge de 63 ans, est décédé
notre confrère Claude Ross, conjoint de
Suzie Gagné. Il demeurait à Deschambault.
Un
peu avant Noël 2008, il avait appris qu'il était
atteint d'un cancer inopérable à un rein
avec des métastases aux poumons. À l'été
2009, il avait dû subir des traitements sévères
de chimiothérapie, traitements qui l'avaient
d'ailleurs empêché d'être avec nous lors
des dernières retrouvailles d'août
2009.
Par
la suite, son état s'était envenimé avec des métastases au cerveau, ce
qui avait exigé cette fois des traitements de radiothérapie à la tête.
Jacques
Racine (2007)
Un
grand disparu pour la région du
Bas-St-Laurent-Gaspésie.
Jacques
était un avocat de plus de 30 ans d’expérience.
De 1978 à 1999, il fut directeur général
du Bureau d’Aide juridique du Bas-Saint-Laurent
et de la Gaspésie et, de 1997 à 1999, il
fut directeur général du Bureau de
l’aide juridique de la Côte-Nord. Il
occupa également les fonctions de président
du Conseil d’administration du Centre
hospitalier régional de Rimouski et
membre du Bureau de l’Association des hôpitaux du Québec.
À
l’hiver 2007, Jacques avait reçu le prix
Robert-Sauvé, qui vise à
honorer
la
mémoire du premier président de la Commission
des services juridiques du Québec et à
souligner
une contribution exceptionnelle à
la
promotion des droits des démunis.
Malheureusement,
moins de quatre mois après avoir été honoré, Jacques
est décédé à
son
domicile, le samedi 31 mars 2007, des suites d'une
longue maladie. Il était âgé de 62 ans et 11
mois.
Il était le conjoint de
Lucienne Simard et le père de Jean-François,
Geneviève
et Philippe. Ses
funérailles ont été célébrées le mercredi 4
avril 2007, à
la
Cathédrale de Rimouski.
Ghislain
Madore (2006)
À
l'Hôtel-Dieu de Québec, le 31 octobre 2006, à l'âge de 60 ans et 9
mois, est décédé Ghislain Madore, fils de feu
François Madore et de feu Rachel Labrie.
Originaire
de Rimouski, il demeurait à Québec. Il laisse dans
le deuil sa fille Miguelle, ses frères Jean-Louis
(Marie Lebrasseur), Gilles-Pierre (Yolande Poirier),
Paul (Diane Paquet) et sa soeur Françoise (René
Bérubé).
La
direction des funérailles a été confiée à la
Coopérative Funéraire des Deux Rives (Anse du
Plateau).
Denis
Mercier (2004)
C'est
en pratiquant le sport qu'il adorait le plus que Denis nous a quittés pour toujours le 20 juin 2004.
Le décès subit de ce grand sportif, au Club de golf Bic, a profondément
attristé ses proches.
À
59 ans, ce jeune retraité de l'enseignement mordait
dans la vie. Très bon golfeur de classe AAA, l'un des
meilleurs au Bic, Denis a excellé dans plusieurs
sports notamment au tennis, au badminton, au hockey
(il a joué pour le Rouge et Or de l'Université
Laval) et au baseball. Avec les Tigres de Rimouski, il
formait au début des années 70, un formidable duo de
lanceurs de baseball avec Denis Michaud.
Pendant 32
ans, il a été professeur en éducation physique au
Cégep de Rimouski. Il a été entraîneur d'équipes
au hockey mineur et junior, au football ainsi qu'au
basket-ball. Dans sa profession autant que dans la
pratique d'activités sportives, il a toujours été
un perfectionniste. C'est le souvenir qu'il laisse à
tous. Il
était le conjoint de Judith Ferland et père de Geneviève et
de Patricia. Denis avait trois
frères, aussi sportifs, Jacques, René et Daniel
ainsi qu'une soeur, Louise. Ses funérailles ont été
célébrées, jeudi, le 10 juin 2004, à l'église
Saint-Pie X.
«Denis était le parfait gentleman. Il avait le
parfait contrôle de ses émotions. Il avait beau
frapper sa balle de golf dans le bois, il nous disait
qu'il allait être sur le vert en même temps que nous.»
(Jean-Pierre Dionne)
Réal
Bellavance (2002)
Témoignage
de sa conjointe, Andrée Mathieu-Bellavance
(déc. 2012)
Je
vais commencer en vous disant que Réal a
été un époux formidable, du genre qu'on
ne peut pas remplacer. Avant de
faire sa connaissance en 1974, je sais
qu'il a travaillé quelque temps comme
conseiller spécial du ministre des
Finances d'alors, Monsieur Raymond
Garneau. Puis, il est entré chez Bell
Canada comme ingénieur en électricité.
Au moment où je l'ai rencontré au
restaurant Saint-Germain de Sillery, alors
géré par Michel D'Amours, il commençait
son MBA à l'université Laval. En
terminant son cours, il est entré dans
l'industrie du couvre-plancher chez Émilien
Rochette inc. à Québec. Il a poursuivi
sa carrière dans ce domaine et c'est
ainsi qu'il s'est retrouvé chez Interface
inc, la compagnie fondée par le
visionnaire Ray C. Anderson.
Je
présume que vous savez à quel point Réal était un
athlète accompli? Après le baseball, il a excellé
dans le racquetball et le golf, et il jouait encore au
hockey douze mois par année avant de tomber malade.
Il était également un excellent pêcheur et nous
avons passé de très belles années à notre camp de
Saint-Urbain, dans le comté de Charlevoix, chalet que
nous possédions en compagnie de France et Jean-Louis
Vaillancourt, Jocelyne et Paul L'Italien et Bernard
Desrosiers. Il va sans dire que Réal a toujours été
fidèle à ses amis du Séminaire, qui ont fait partie
de notre vie tout au long de notre union.
Quand
on a découvert son cancer du pancréas, Réal était
vice-président aux ventes pour Interface Canada.
Il y comptait aussi de nombreux amis. D'ailleurs,
sachant ses jours comptés, il a voulu rendre
visite à tous ses représentants dans chacune
des provinces canadiennes. Nous avons donc
parcouru le Canada "coast to coast" dans
un contexte très pénible. Puis, il a décidé de
passer son dernier Noèl dans sa famille à Amqui.
Je l'aurais porté sur mes épaules jusque-là
tellement il ytenait...
Il est entré à l'hôpital d'Amqui la veille du
Jour de l'An, et c'est là qu'il est décédé,
une semaine plus tard, le 7 janvier 2002.
Je
veux vous remercier de m'avoir donné l'occasion
de vous parler de lui. Je suis loin d’être
triste, rassurez-vous, il ne m'a tout simplement
jamais quitté...
Alain
Ouellet (1990?)
«
Au sortir du Séminaire, Alain a fait ses études de philosophie à
l'Université Laval de Québec. D'après moi, Alain est arrivé au Cégep
de Trois-Rivières en 1972-73, si on compte trois ans en Côte d'Ivoire
pour y enseigner. Étant donné que j'ai commencé à enseigner au Cégep
en 1970-71 et que j'ai été retardé d'une année en raison d'une année
d'étude en sciences de l'administration, c'est plus plausible qu'il a
commencé au Cégep en 1972. Je ne connais pas l'année précise de
l'accident qui a entrainé la mort du couple Jeanne d'Arc Marleau/Alain
Ouellet, mais c'est certainement en 1990 ou après, puisque le premier
livre de Jeanne D'Arc intitulé "Guide d'hygiène de vie pour
hypoglycémiques : et pour toutes personnes voulant éviter de le devenir"
a été publié à Trois-Rivières, aux éditions d'Arc, en 1988. Un deuxième
livre a suivi avant que ne surviennent les décès dans le même accident
d'automobile. Ce qui nous mène à 1990 ou aux années suivantes. Ma femme
et moi avions de bons rapports avec ce couple. Alain suivait et
accompagnait les recherches de sa femme qui avait un bon rayonnement. J'ai
suivi un cours d'alimentation avec Jeanne D'Arc. En 1979-80, Alain
Ouellet, Luc Gagnon et moi, en triumvirat comme on l'avait appris au
classique, nous étions responsables de coordination au Département de
philosophie du Cégep de Trois-Rivières. On peut donc voir qu'il
s'impliquait tout en ayant une personnalité un peu discrète. Il
conservait d'excellents souvenirs de son séjour d'enseignement en Côte
d'Ivoire. Je puis le dire parce qu'on s'est visité de nombreuses fois. »
(Donat Gagnon, ami et ex-confrère
d'Alain)
«
Comme collègue de travail et philosophe, Alain
avait un bon sens critique et pour lui les réponses simples et toutes
faites n’avaient pas leur place. Il était exigeant auprès de ses élèves,
voulant ainsi bien les préparer à leur futur rôle de citoyen et à leur
future carrière. Alain aimait beaucoup le plein air et la musique. C’était
un bon vivant. Il est décédé lors d’un accident d’automobile en se
rendant en Beauce. Son épouse est également morte lors de l’accident.
Je ne me rappelle plus l’année exacte de l’accident. Ils ont eu un
fils, Samuel, qui vit maintenant en Ontario et que je n'ai pas revu depuis
plusieurs années. »
(Marcel
Gibeault, coordonnateur de département de philosophie du Cégep de
Trois-Rivières)
Jean-Claude
Lévesque (1987)
Nous
n'avons malheureusement pas de détails présentement sur le départ de
Jean-Claude. Toute personne qui aurait des informations à nous
communiquer sur son décès ou des témoignages à nous faire sur ce qu'il
était devenu après le Séminaire est invitée à le faire en
communiquant avec le webmestre.
Paul
Dionne (1979)
Il
serait décédé le 17 novembre 1979 à Lac-au-saumon.
Merci
à Laurent Chénard qui nous a communiqué cette information. Nous
n'avons malheureusement pas d'autres détails présentement sur le départ de
Paul. Toute personne qui aurait d'autres informations à nous
communiquer sur son décès ou des témoignages à nous faire sur ce qu'il
était devenu après le Séminaire est invitée à le faire en
communiquant avec le webmestre.
Michel
Boucher (fin des années '70)
Au
moment de son décès, Michel était médecin à
Québec.
Nous
n'avons malheureusement pas d'autres détails présentement sur le départ
de Michel. Toute personne qui aurait des témoignages à nous faire sur
ce qu'il était devenu après le Séminaire est invitée à le faire en
communiquant avec le webmestre.
Germain
Coulombe (1968)
Germain
est décédé d'un accident de travail pendant ses
vacances. Il était étudiant dans une communauté
de Pères missionnaires.
Merci
à René Ouellet qui nous a communiqué cette information. Toute
autre personne qui aurait des détails à nous communiquer ou des
témoignages à nous faire sur ce qu'il était devenu après le Séminaire
est invitée à le faire en communiquant avec le webmestre.
Jacques
Desrosiers (?)
Nous
n'avons malheureusement pas de détails présentement sur le départ de
Jacques. Toute personne qui aurait des informations à nous communiquer ou
des témoignages à nous faire sur ce qu'il était devenu après le
Séminaire est invitée à le faire en communiquant avec le webmestre.
Jacques
Michaud (?)
Nous
n'avons malheureusement pas de détails présentement sur le départ de
Jacques. Toute personne qui aurait des informations à nous communiquer
sur son décès ou des témoignages à nous faire sur ce qu'il était
devenu après le Séminaire est invitée à le faire en communiquant avec
le webmestre.
Maurice
Langlais (?)
Nous
n'avons malheureusement pas de détails présentement sur le départ de
Maurice. Toute personne qui aurait des informations à nous communiquer
sur son décès ou des témoignages à nous faire sur ce qu'il était
devenu après le Séminaire est invitée à le faire en communiquant avec
le webmestre.
(fichier
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